Le dérèglement climatique pousse l’agriculture européenne dans une période de crise sans précédent. Ironiquement, les pratiques agricoles dominantes comptent parmi les causes premières de ce dérèglement, faisant de notre agriculture à la fois une victime et une responsable.
Ce constat paradoxal conduit l’agronome et ethnologue Jacques Caplat à dessiner un véritable espoir. Identifier les erreurs de l’agriculture conventionnelle, c’est permettre de dégager des solutions de grande ampleur. Restaurer des sols vivants capables de stocker les pluies, ré-adapter les plantes aux milieux, redessiner l’élevage, s’affranchir des engrais de synthèse : en se modernisant, l’agriculture pourrait contribuer à sauver le climat. Jacques Caplat signera son dernier ouvrage paru en février « Agriculture Industrielle, on arrête tout et on réfléchit ».
Prendre conscience des effets du changement climatique et de la raréfaction de la disponibilité en eau d’irrigation.
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